•• Derrière L'écran

- Prénom : Fiona
- Age : 18 ans dans quelques mois ( ca fait mieux que 17 ans et plusieurs mois :P )
- Comment as tu découvert le Forum ? Partenariat =)
- Que penses tu de la version ? Je suis devenue membre car justement, elle me plait
- Fréquence de Connexion : Futur bachelière oblige : je serais connectée 2 à 3 fois par semaine uniquement
- Suggestion : /

•• Pour commencer

- Ton personnage fait partit des Postes Vacants ? [ ] OUI [--] NON
- Personne sur L'avatar : Kristen Dunst
- Groupe : Studieuseee

•• Identité

- Nom & Prénom : CURCURRI Zoë
- Date & Lieu de Naissance : 2 Aout 1990 à Londres
- Age : 20 ans

- Caractère :
Qu'est-ce qui représente le plus Zoë ? La maladresse dans toute sa splendeur. C'est une pas douée du début jusqu'à la fin ! Timide (à croire qu'elle est coincée), mais toujours souriante. Elle aura toujours tendance à redonner la pêche et à faire passer le bonheur des autres avant le sien. De ce fait, elle est silencieuse sur ses douleurs et sur ses sentiments ; c'est aux autre de la décodé. Studieuse, et très loyale, elle travaille sans arrêt pour que ses efforts soit payé. Parfois farouche, si elle est de mauvaise humeur, elle vous le fera savoir.

- Histoire :

Il était une fois...

« Que c'est bien d'être, mais l'important c'est de devenir. »

Antoine Bourdelle

Petite enfance... Papa maman, papa papa...

« Un enfant n'a jamais les parents dont il rêve. Seuls les enfants sans parents ont des parents de rêve. »

Boris Cyrulnik

Et Zoë n'en fut pas l'exception.
2 Aout 1986

Naissance d'une petite qui ne savait pas encore qu'elle avait un grand frère, un père qui sera le plus présent possible, une famille bien plus nombreuse que les doigts de ses petites mains, mais aussi une mère qui sans scrupules, les abandonnera une fois sorti de l'hôpital.

Marilyn Elen Curcurri, née James, américaine vivant dans les ghetto de Mahnattan avait fait la rencontre de Patrick Marid Curcurri en 1984. Chacun ses activités. Elle anciennement couturière et danseuse à ses heures perdu, et lui chauffeur de taxi, ils achetèrent une petite maison en banlieue avec le peu de revenu qu'il avait. Tous deux avaient grandis aux États-Unis dans des conditions qui n'étaient pas les lus respectable et ne voulaient pas faire subir cela à la futur famille. La maison était petite, mais suffisante pour élever des enfants. Ils n'étaient pas riche, mais avait suffisamment d'argent pour s'offrir une maison dans la banlieue américaine et avoir une vie tranquille. Pour rentabiliser cet achat, le père travailla des horaires doubles, et la mère trouva un deuxième "job". Rien de bien plaisant, mais au final, les efforts furent récompensés.

1990, naissance de la petite Zoë. Une petite Zoë toute légère qui ne perdit pas de temps pour entourer de sa minuscule main, l'index que son père lui tendait. Ce jour-ci, était un jour de bonheur pour la famille Curcurri qui se voyait grandir. Après le petit Caleb - grand frère de Zoë, de trois ans son aîné - est arrivé la petite de la famille.


A l'école, je disais que mon père était le meilleur pilote de Formule 1, que mon frère serait astronaute et que je serais danseuse étoile à Hollywood...

« L'enfance sait ce qu'elle veut. Elle veut sortir de l'enfance. »

Jean Cocteau

Marilyn Elen Curcurri les abandonna une fois sorti de l'hôpital. Pourquoi ? Jamais son père n'a eu de réponse, jamais Zoë ne la vit en vrai. Pas même une bribe de souvenir, pas même une trace qui pourrait laisser une impression de "déjà-vu". Rien. Le néant.
Pas de quoi en faire une tartine, disait son père pour les rassurer. Comment voulez-vous rassurer un petit garçon de trois avec une petite fille dans les bras qui ne connaitra jamais le plaisir de dire "maman", une fois le mot "papa" apprit ? Lors de ce départ précipité de la mère, Patrick décida de recommencer une vie. Une vie pendant laquelle plus personne ne pourra tout gâcher. Alors, il partit à Londres, là où sa famille avait vécu. Lui qui avait grandit en Angleterre, il préféra voir ses enfants grandir loin du rêve américain qui lui avait joué bien des tours. C'est alors qu'ils retrouvèrent tous les trois leur petite famille, en rayant à tout jamais ce côté maternelle qui ne faisait plus parti d'eux dès à présent.

«L'innocence. Un être doux, très gentil mais qui manque un peu d'expérience. »

Grand Corps Malade

Jusqu'à ses 12 ans, âge à laquelle Zoë commençait à poser beaucoup de questions, à être curieuse, à entrer dans une adolescence qui s'avérera difficile, à avoir besoin d'une mère pour affronter cela. Mais elle n'avait pas tout cela. Que de désir, mais aucun satisfaction.
Petit à petit, ses talents de danseuses se prononcèrent. Elle animait les soirées, préparait des "mini ballet" comme disait son père fier d'elle. Elle était un petit rayon de soleil sur pointe dès lors qu'elle portait ses ballerines roses. Mais derrière ses échappés pleines grâces, se cachait une petite fille qui avait bien du mal à s'épanouir hors de la scène. De plus en plus timide avec les gens qu'elle ne connaissait pas, elle allait de moins en moins vers les autres et se contentait uniquement de rester dans le cercle connu. Le cercle qui lui assurait qu'elle ne sera pas abandonné par ses amis. Des personnes sûr qu'elle connaissait bien. Elle trainait souvent avec son frère qui lui a apprit à forger son caractère.

« La danse est le plus sublime, le plus émouvant, le plus beau de tous les arts, parce qu'elle n'est pas une simple traduction ou abstraction de la vie ; c'est la vie elle-même.»

Henry Havelock Ellis

Il faut voir grand mais ne pas être vue petit...

Zoë ne savait faire que cela sur la scène, elle n'était que douée pour cela et n'avait rien d'autre. Jusqu'au jour où son professeur lui apprit les bonne choses du théâtre. Alors, une nouvelle passion naquit en elle. Une passion mélangé des deux. Elle savait danser en jouant, et joué en dansant. Une parfaite comédienne qui savait se rendre aussi légère que la plume et aussi gracieuse que la sirène des contes.
Son frère comprit que Zoë ne devait pas rester ici. Il ne fallait certainement pas caché ce talent, se serait du pure gâchis dans un monde qui manque d'art.


La douleur du refus...

A ses 16 ans et lui à ses 19, ils partirent aux États-Unis. L'absence d'une mère avait rendu cette adolescence difficile, mais l'absence de la famille avec laquelle elle avait toujours vécu était un choc encore plus grand.
A cela s'entama une réaction en chaîne : son anorexie, son renfermement, ses échec aux auditions. Aucune école ne voulait d'elle, et elle ne voulait pas de celle qui l'acceptait. Son anorexie la mangeait de l'intérieur et lui retirait ses forces, sa bonne volonté et sa grâce sur les ballerines.

... le bien être du renouveau...

Un an après, rétabli de cette mauvaise passe, Zoë emménagea pour de bon à New-York, choisit cette université, qui la choisit et ne compta que sur ses talents pour montrer aux monde que l'art est lié à soi, que le passé enrichit d'émotion et que l'émotion est ce qui rend à la chose, toute sa beauté.

- Gouts :

Ce n'est pas en elle que manque le talent artistique. Bien qu'elle soit très mauvaise chanteuse - malheur à celui ou celle qui par mégarde entendrait le massacre sous la douche, Zoë est passionnée par l'art dramatique. La scène lui fait beaucoup moins peur que la rencontre de nouveaux gens. Depuis son plus jeune âge, cette dernière a toujours été l'enfant prodige de la famille qui avait le rôle principale dans toute les pièces de fin d'année. De princesse à méchante sorcière, elle a su s'adapter à tout les rôles. Sa connaissance dans le domaine cinématographique et le domaine théâtrale lui donne un avantage lors d'une quelconque audition ; avant tout, la gérance du stresse.
Lire fait partie de son passe-temps favori, et l'imagination, elle n'en manque pas. Ce n'est pas une surdouée de l'écriture, mais elle aurait aimée être scénariste, si son premier rêve venait à échouer.
Mais surtout, lorsqu'elle porte ses ballerines roses, certes âgés et détruit par l'âge, chaque échappées traduisent sa passion pour la danse et sa grâce.

- Relation :

Zoë reste très proche de son frère qui est venue à New-York avec elle pour l'accompagner dans son but premier : devenir une grande comédienne. Sans oublier qu'elle garde un contact permanent avec son père qui est certainement pour elle, le tout dans un seul et unique corps. Il incarne la personne qui a su toujours les protéger, les rendre heureux. Interdiction pour elle d'accepter une seule phrase de mauvaise sur son père ou son frère. Question amitié, elle n'a pas un grand cercle d'amis de part sa timidité et sa légère méfiance aux gens. Mais lorsqu'elle apprécie ou aime, alors, la loyauté est un mot d'ordre pour cette jeune femme.

•• Le Mot de la Fin

Code:

C : Londres

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